En cette période sans actualité sportive, retrouvez une longue série d’interviews des joueuses et joueurs de l’A.L.B.E.U ! Continuons avec Kamel Moussaoui, licencié à l’A.L.B.E.U et joueur de notre équipe de club sportif. Pour commencer cette interview, peux-tu te présenter stp ? Kamel Moussaoui, né le 28 février 1978 dans le 2e arrondissement de Lyon ; aujourd’hui âgé de 42 ans. Technicien sur une ligne de montage chez Renault Trucks. Quelles sont tes occupations extra-professionnelles, à part jouer aux boules bien sûr ? La plupart du temps je m’occupe de mes 3 enfants Waël, Delya et Dayana. Je navigue entre le foot, Waël jouant en club, et l’athlétisme, que pratique ma fille. Quel bonheur de les voir pratiquer ces disciplines ! De mon côté j’aime aussi les moments de convivialité avec mes amis de l’A.L.B.E.U. As-tu pratiqué d’autres sports et est-ce encore le cas aujourd’hui ? Oui, j’ai pratiqué le foot pendant 12 ans au sein du club de l’Etoile Sportive Trinité (Lyon 8e arrondissement), jusqu’en première année « seniors ». J’ai eu l’occasion de jouer à l’A.S. Saint-Priest par la suite, mais j’ai rapidement été contraint d’arrêter, suite à une maladie génétique diagnostiqué en « cadets ». Ensuite, j’ai commencé les boules, à l’âge de 16 ans, en prenant ma première licence à la Boule des Travailleurs, mon père étant alors licencié dans ce club. J’ai découvert, grâce à mon ami Jacques Di Jorio, le CFB (centre de formation bouliste) de Bron. Jacques m’y emmenait chaque mercredi soir, avec notre ami Lionel Guy, à bord d’une R5 (aïe, cela remonte !). Je remercie vraiment ces deux personnes sans qui je n’aurais probablement jamais connu le sport-boules lyonnaise et toutes ces années qui ont suivi ! Tes goûts musicaux ? En réalité j’apprécie tous les styles de musique, mis à part l’électro, un peu trop branchée pour moi ! Ton film préféré ? Je ne regarde pas réellement de films à part ceux tirés de faits réels. Je préfère les reportages et le sport. A quel âge as-tu commencé le sport-boules lyonnaise ? Comment as-tu découvert notre discipline ? Dans quels clubs as-tu évolué tout au long de ton parcours bouliste ? Commençant à 16 ans, j’ai d’abord joué à la Boule des Travailleurs, où mon père était licencié. Le club était d’ailleurs situé à 20 mètres de mon club de foot ! Ensuite j’ai intégré le CFB de l’A.L.B.E.U (nous étions […]
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En cette période sans actualité sportive, retrouvez une longue série d’interviews des joueuses et joueurs de l’A.L.B.E.U ! Continuons avec Florian Couturier, licencié à l’A.L.B.E.U et entraîneur de notre équipe de club sportif. Pour commencer cette interview, peux-tu te présenter stp ? Florian Couturier, né le 13/09/1981 à Roanne (41 + 1). Je suis électricien spécialisé dans le ferroviaire à la SNCF. Quelles sont tes occupations extra-professionnelles, à part jouer aux boules bien sûr ? Une bonne partie de mon temps je m’occupe de ma fille et de mon fils, ce n’est que du bonheur ! Sinon j’aime passer des moments conviviaux avec mes amis, je cours un peu quand j’y pense et je me suis récemment découvert un nouveau domaine de prédilection : le Badminton As-tu pratiqué d’autres sports et est-ce encore le cas aujourd’hui ? Oula ! Je me suis essayé à tout un tas de disciplines sportives pour lesquelles j’ai connu plus ou moins de succès ! Le premier sport que j’ai pratiqué est le rugby. Mon papa étant un grand passionné, il nous avait inscrit mes 2 frères et moi à Cours-la-Ville : une institution là-bas à l’époque avec une école de rugby très fournie. Je suis passé également par le club de Roanne qui avait décelé mon incroyable potentiel…je n’avais donc plus rien à prouver et j’ai ainsi décidé de mettre un terme à ma prometteuse carrière à l’âge de 17 ans. Mon frère cadet à fait son jubilé l’année dernière après avoir passé près de 32 ans sur le rectangle vert. En parallèle, je faisais du handball en UNSS tous les mercredis. Ensuite, gros sacrilège pour le rugbyman que j’étais, je me suis lancé dans le football (effet Olympique Lyonnais et Coupe du monde); avec des amis nous avons créé une équipe de potes, sans joueur vraiment aguerri. Mais nous avons tout de même réussi à atteindre la finale de la coupe des vignerons (pas de commentaire, SVP), match que nous avons perdu 4 buts à 1. Je me rappelle avoir marqué un but ce jour là, une magnifique tête dans la lucarne de mon coéquipier… Ensuite j’ai voulu découvrir le karaté : je ne l’ai pratiqué qu’une année, les cours étaient le samedi matin; à cette époque j’avais 19 ans et mes vendredis soirs n’étaient pas vraiment compatibles avec cette activité le lendemain matin. Certains cours devenaient un véritable supplice, surtout quand tu […]
En cette période sans actualité sportive, retrouvez une longue série d’interviews des joueuses et joueurs de l’A.L.B.E.U ! Continuons avec Damien Baldi, joueur de notre équipe de club sportif. Pour commencer cette interview, peux-tu te présenter stp ? Damien Baldi. J’ai 32 ans et je suis enseignant de mathématiques au collège depuis bientôt 10 ans. Quelles sont tes occupations extra-professionnelles, à part jouer aux boules bien sûr ? J’adore voyager, c’est une de mes passions premières. J’ai aussi beaucoup de temps libre en période de travail (on me le rappelle souvent) que je consacre au sport principalement, mais aussi à d’autres divertissements qui varient selon les périodes. As-tu pratiqué d’autres sports et est-ce encore le cas aujourd’hui ? J’ai pratiqué le judo de 4 à 16 ans. Je suis également un adepte de la course à pied, un bon moyen selon moi pour se vider la tête, et qui peut se pratiquer assez facilement quelque soit la période de l’année. Petit clin d’oeil à Robin pour son futur marathon 😉 Suite aux provocations répétées de notre coach cette saison, j’envisage également de me lancer dans le badminton. Tes goûts musicaux ? Ils sont assez variés. Pour citer quelques artistes, j’apprécie par exemple Broken Back, que j’utilise souvent lorsque je fais des montages vidéos. Sinon, je dois également avouer mon goût pour la chanson française, plus particulièrement les années 80. J’écoute aussi (ou je subis au choix) Patrick Bruel, mais plus par défaut je dois l’avouer, comme en ce moment durant la période de confinement où Chloé suit rigoureusement ses lives sur les réseaux sociaux. Ton film préféré ? J’ai adoré les films Harry Potter étant plus jeune; également la trilogie Matrix ou encore côté humoristique « Les Bronzés font du ski ». Désormais, je suis plutôt séries. Pour en citer quelques une, je dirais « Stranger Things », « Bureau des Légendes », « Peaky Blinders » ou encore « Breaking Bad » sans oublier les incontournable « How I met your mother » et « F.R.I.E.N.D.S » que je revisionne assez souvent (j’ai d’ailleurs une liste de mes épisodes préférés enregistrée dans mon téléphone 🙂 Allez je le donne également : le film du même nom que la pièce de Théâtre avec Patoche: « Le Prénom ». Vous avez sûrement compris pourquoi. A quel âge as-tu commencé le sport-boules lyonnaise ? Comment as-tu découvert notre discipline ? J’ai commencé […]
En cette période sans actualité sportive, retrouvez une longue série d’interviews des joueuses et joueurs de l’A.L.B.E.U ! Continuons avec Robin Chauchot, président de la section sport-boules lyonnaise de l’A.L.B.E.U et membre du conseil d’administration de l’association. Pour commencer cette interview, peux-tu te présenter stp ? Robin Chauchot, 29 ans. Je suis chargé de communication et habite à Lyon depuis 2013 (originaire des alentours de Clermont-Ferrand). Président de la section sport-boules lyonnaise de l’A.L.B.E.U et membre du conseil d’administration de l’association. Quelles sont tes occupations extra-professionnelles, à part jouer aux boules bien sûr ? La première est, la vie associative, sportive particulièrement. Aider les clubs, comme bénévole dans mes plus jeunes années, puis aujourd’hui en tant que dirigeant associatif, est une vraie passion. Je me souviens encore quand le président de mon tout premier club de tennis, qui souhaitait engager une équipe jeunes en compétition, m’a dit « j’aimerais que tu sois le capitaine de l’équipe ». Je ne sais plus vraiment à quoi j’ai alors pensé, mais, du haut de mes 11 ou 12 ans, j’ai accepté (en demandant tout de même à mes parents au préalable 🙂 ). Bien entendu, ce n’était pas « grand-chose » mais cet épisode a sûrement contribué à mon intérêt pour l’associatif sportif. Aujourd’hui, j’ai la chance d’être très impliqué au sein de notre formidable association qu’est l’A.L.B.E.U Sport-Boules (située dans le Huitième arrondissement de Lyon) et qui a été, à mon arrivée sur Lyon, une magnifique découverte (nous y reviendrons plus loin) ! Ayant repris le tennis il y a peu, dans le club très sympathique du Huitième arrondissement de Lyon, je fais également partie de son conseil d’administration. Choisissant Lyon en 2013 comme lieu pour terminer mes études, j’ai très vite été passionné par cette belle ville, son patrimoine architectural, son histoire…j’ai même créé un blog (SecretsdeLyon.fr) à ce sujet, suivant une ligne éditoriale différente de ce que l’on peut consulter habituellement là-dessus, en présentant les endroits méconnus et insolites de la ville; mais je n’ai plus le temps de l’alimenter. Mon implication à l’A.L.B.E.U m’a aussi permis, petit à petit, de participer plus globalement à la vie locale et sportive du « Huitième », en lien avec l’Office des Sports de l’arrondissement (présidé par Denis Million) et en étroite relation avec la mairie et l’adjoint au Maire du Huitième arrondissement de Lyon délégué au sport, Karim Matarfi. Et, plus récemment, à la […]
En cette période sans actualité sportive, retrouvez une longue série d’interviews des joueuses et joueurs de l’A.L.B.E.U ! Continuons avec Georges « Jo » Paillet, licencié à l’A.L.B.E.U. Pour commencer cette interview, peux-tu te présenter stp ? Georges Paillet, 73 ans. Je suis routier. Quelles sont tes occupations extra-professionnelles, à part jouer aux boules bien sûr ? J’apprécie jouer aux cartes, sortir et faire la fête avec mes amis. As-tu pratiqué d’autres sports et est-ce encore le cas aujourd’hui ? Oui, j’ai fait du foot, comme beaucoup, ainsi que du rugby. On y reviendra plus tard. Tes goûts musicaux ? J’écoute surtout de vieilles chansons françaises. Ton film préféré ? Sans hésitation : « Les lyonnais », racontant l’histoire du gang des Lyonnais, réalisé par Olivier Marchal. A quel âge as-tu commencé le sport-boules lyonnaise ? Comment as-tu découvert notre discipline ? J’ai pu démarrer il y a 18 ans avec mes beaux-frères André et Bernard Weber. Dans quels clubs as-tu évolué tout au long de ton parcours bouliste ? Jouant dans plusieurs clubs, à Lyon et ailleurs, je ne me souviens honnêtement plus de toutes les sociétés auxquelles j’ai adhéré mais en voici quelques-unes : La Radium boules, l’Amicale boule du Bachut, la Boule Thibaude, St-Vincent-de-Reins, la Boule de la Madeleine, et aujourd’hui l’A.L.B.E.U. Peux-tu nous présenter ton palmarès ? N’en déplaise à M.Gisbert 🙂 et pour aller dans le sens de sa question : j’ai eu la chance de gagner plusieurs GP, doublette ou quadrette, avec de grands joueurs, comme le 64 TD de la Boule du Coq avec Lionel Dalmaz, et le 64 TD doublette de Chalay. Quel est ton poste ou ta formation favorite ? Je dirais pointeur de tête, plutôt en doublette qu’en quadrette. Ton meilleur souvenir bouliste ? J’en ai plusieurs : l’ensemble des qualifications, toujours avec mes amis, aux différents championnats de France, les 10 ans de compétition aux côtés de mon ami Romain Gisbert, le bonheur d’avoir joué avec MM. Berthet, Dalmas, Ollier, Di Jorio, Dupuy, Pingeon Thierry, notamment. Ton pire souvenir ? Au championnat de France quadrettes à Vichy, avec Gilles Dupuy, Serge Perchet, Erice Seigle et Michel Khettar : nous avons perdu en huitième de finale après avoir mené 8 à 2. Comment as-tu découvert l’A.L.B.E.U et depuis quand y es-tu licencié ? La découverte du club de l’A.L.B.E.U se fit assez rapidement après avoir débuté le sport-boules lyonnaise; j’ai en effet été licencié […]
En cette période sans actualité sportive, retrouvez une longue série d’interviews des joueuses et joueurs de l’A.L.B.E.U ! Continuons avec Romain Gisbert, joueur de notre équipe de club sportif. Pour commencer cette interview, peux-tu te présenter stp ? Romain Gisbert, 34 ans. Je suis employé à la SNCF. Quelles sont tes occupations extra-professionnelles, à part jouer aux boules bien sûr ? Un peu de sport, quelques films, séries télé et matchs de foot (Allez l’OL !). As-tu pratiqué d’autres sports et est-ce encore le cas aujourd’hui ? Oui, j’ai fait un peu de foot, judo, tennis et athlétisme à l’école mais je n’en fais plus aujourd’hui. Tes goûts musicaux ? J’aime bien le rap, le R’n’B, la funk, le reggaeton et l’électro commerciale. Ton film préféré ? Je n’en ai pas spécialement mais je suis plus attiré par les films fantastiques et de science-fiction. A quel âge as-tu commencé le sport-boules lyonnaise ? Comment as-tu découvert notre discipline ? J’ai commencé aux alentours des 9/10ans et j’ai découvert ce sport car mon père, mon grand-père et mon grand-oncle jouaient. Dans quels clubs as-tu évolué tout au long de ton parcours bouliste ? J’ai débuté à l’A.L.B.E.U puis j’ai joué à la C.R.O. Lyon, à l’A.S.C.U.L, à Oullins, à Amplepuis, à Feyzin, avant de faire mon retour à l’A.L.B.E.U. Peux-tu nous présenter ton palmarès ? 5 titres de champion de France et d’autres dans les fédérations affinitaires (U.S.C.F & U.F.O.L.E.P), dont : Chp. de France en tir de précision (cadets, 2003) Chp. de France en double avec Mickaël Eymard (18/23 ans, 2004, à Angoulême) Chp. de France en club sportif avec l’équipe de l’ASCUL (Nationale 3, 2007) Chp. de France en club sportif avec l’équipe de l’ASCUL (Nationale 2, 2008) Chp. de France U.F.O.L.E.P en double avec Alexandre Chardon (jeunes, 2002, à Liévin) Chp. de France U.S.C.F en quadrette (2015 à Vichy) Quel est ton poste ou ta formation favorite ? Tireur en second. Ton meilleur souvenir bouliste ? J’en ai trop en tête pour les détailler ici; cependant une chose est sûre : ils sont surtout avec les amis. Ton pire souvenir ? Ce n’est pas un mauvais souvenir mais j’aurais aimé refaire une saison en quadrette avec la Daube, le Gus, Manu Péaud et les frères Brou. Comment as-tu découvert l’A.L.B.E.U et depuis quand y es-tu licencié ? J’ai découvert le club à mes débuts, en passant par le […]
En cette période sans actualité sportive, retrouvez une longue série d’interviews des joueuses et joueurs de l’A.L.B.E.U ! Continuons avec Philippe Charra, joueur et président de notre équipe de club sportif. Petit préambule de Philippe : Avant de répondre aux différentes questions de l’interview, je souhaiterais renouveler mon soutien à l’ensemble des personnes qui travaillent pour améliorer la situation sanitaire de la France : les soignants, les aidants, les bénévoles, les scientifiques… des encouragements et des remerciements tout particulièrement au SAMU de Lyon. Mon soutien également à toutes les personnes touchées par le virus ainsi qu’à leurs familles. L’A.L.B.E.U n’est, malheureusement, pas épargné par l’épidémie, un prompt rétablissement et courage à tous les sociétaires qui sont concernés. L’interview pourra vous paraître un peu décalée mais les personnes qui me connaissent ne seront pas surprises, je crois qu’elle me ressemble bien. Pour commencer cette interview, peux-tu te présenter stp ? Philippe CHARRA, 37 ans. Je suis employé de mairie et président du Club Sportif de l’ALBEU depuis 2014. Quelles sont tes occupations extra-professionnelles, à part jouer aux boules bien sûr ? Principalement le sport, le cinéma, les séries et les organisations de manifestations sportives : je crois qu’on va parler de tout ça plus tard. As-tu pratiqué d’autres sports et est-ce encore le cas aujourd’hui ? J’aime le sport, mais le sport ne m’aime pas trop je pense (quel que soit le sport choisi mon niveau sportif s’étale entre mauvais et moyen). Néanmoins je persévère (ceci doit avoir un lien avec la question de PH) et j’essaie d’en pratiquer le plus possible : VTT, badminton (hein Florian ?), basket, course à pied. De plus, j’adore « challenger » mes amis en sport (bien vrai Maximilien ?), afin de me tester et de toujours donner le maximum. Tes goûts musicaux ? Mes goûts musicaux sont assez divers (pop, rock, rap…), pour vous en donner une idée voici mes 3 dernières musiques que j’ai enregistrées sur mon Deezer (enfin celui que je squatte) : Blinding lights : The Weeknd All I Know : GoldStone & Octave Lissner Baiana : Bakermat Ton film préféré ? Mon film préféré, difficile à dire mais pourquoi pas : « La ligne verte » de Franck Darabont. Dernièrement j’ai bien aimé le film « Parasite » de Bong Joon Ho, ainsi que « La plateforme » de Galder Gaztelu-Urrutia. Concernant les séries, je vous en propose trois : Game Of Thrones Peaky […]
En cette période sans actualité sportive, retrouvez une longue série d’interviews des joueuses et joueurs de l’A.L.B.E.U ! Commençons avec Pierre-Henri Czaplinksi, joueur et capitaine de notre équipe de club sportif. Pour commencer cette interview, peux-tu te présenter stp ? (Prénom, nom, âge, profession, etc.) Pierre Henri Czaplinski, 33 ans. Je suis directeur commercial d’une Régie immobilière sur Lyon et originaire de Saint-Etienne; j’habite sur Lyon depuis pratiquement 6 ans. Quelles sont tes occupations extra-professionnelles, à part jouer aux boules bien sûr ? Le sport en règle générale et plus précisément le basket (que je pratique également en club) et le VTT. J’aime aussi beaucoup voyager. As-tu pratiqué d’autres sports et est-ce encore le cas aujourd’hui ? Tout jeune j’étais licencié dans un club de karting et de Motocross. J’ai également longtemps joué au football de 6 ans jusqu’à l’âge de 25 ans environ. Aujourd’hui je pratique le basket, en club, sur Lyon. Tes goûts musicaux ? J’aime vraiment la musique; toutes sortes de musique allant des Red Hot Chili Peppers à VALD en passant par Grégory Porter ou encore Martin Garrix / Daft Punk. C’est vraiment une question de période. Ton film préféré ? J’ai un gros défaut de culture cinématographique. Je n’aime pas spécialement le cinéma mais puisqu’il faut en citer un, je vais te dire GLADIATOR. A quel âge as-tu commencé le sport-boules lyonnaise ? Comment as-tu découvert notre discipline ? J’ai commencé à l’âge de 15 ans. Il y avait une amicale bouliste en face de chez moi. Des parents à mes amis jouaient régulièrement. Dans un premier temps j’ai testé, puis j’ai trouvé cela sympa. Mais c’est réellement lorsque j’ai découvert les épreuves sportives que je me suis réellement plus investi dans ce sport. Dans quels clubs as-tu évolué tout au long de ton parcours bouliste ? J’ai commencé ma formation à Saint-Etienne au club des «Temps nouveaux» jusqu’à l’âge de 21 ans. Ensuite je suis parti jouer au club de «Grenoble-Eybens» pendant une période de 4 ans. Par la suite je suis parti jouer à Saint-Vulbas (1 an) pour finalement retourner à Saint-Etienne (2 ans) et enfin me retrouver à l’A.L.B.E.U depuis maintenant 5 ans. Peux-tu nous présenter ton palmarès ? Il est assez simple 😊 et se compose uniquement de résultats en « club sportif », ne jouant pas en « traditionnel » ou très peu : 2 fois champion de France (ÉLITE 2 et NATIONALE 3). 4 fois vice-champion de France. Quel […]
A l’occasion de la tenue du grand prix (16 doubles M3/M4) de la Mairie du Huitième arrondissement de Lyon le samedi 31 août à l’A.L.B.E.U (finale le 5 septembre), nous avons rencontré Karim Matarfi, adjoint aux sports de Lyon Huitième depuis 2001. Bonjour Karim, peux-tu tout d’abord nous donner quelques chiffres et informations quant à la pratique sportive au sein de notre arrondissement ? Nombre de licenciés : plus de 8 500 licenciés (pour bientôt 100 000 habitants, ce qui fait du Huitième le 2e arrondissement le plus peuplé de la ville). Environ 75 clubs. Différentes structures : on va de clubs comptant quelques licenciés à des clubs totalisant de nombreux adhérents, comme le FC Lyon (1500), la Convention Gymnique de Lyon (600) ou encore La Nouvelle Renaissance Lyonnaise (500). L’office des sports du Huitième (émanation de l’office des sports de Lyon) a été créé en 2002. Cette structure permet de fédérer les clubs et d’établir des liens, notamment grâce aux réunions organisées régulièrement, entre de nombreuses structures et personnes n’ayant pas forcément vocation à se rencontrer, avec leur pratique sportive différente. Une vraie solidarité et des synergies se créent entre nos associations, chacun s’enrichissant des autres. Quelques exemples de structures situées dans l’arrondissement : le Clos Layat (4 terrains de football), les gymnases Mado Bonnet (accueillant notamment les matchs du Lyon ASVEL Féminin) et Sergueï Vorontzov (accueillant la Convention Gymnique de Lyon, le pôle France de gymnastique de Lyon ainsi que de nombreux stages des équipes de France), le dojo « Fraternité », le boulodrome de l’A.L.B.E.U… Comment as-tu connu le club de l’A.L.B.E.U ? Je connais le club depuis le milieu des années 1990 ; depuis ma prise de fonction en 2001, j’ai l’occasion de régulièrement échanger avec les dirigeants ainsi que de m’y rendre pour assister aux différentes compétitions et événements. Je souhaite souligner la nouvelle dynamique qui s’y est installée depuis quelques années, grâce notamment à la jeunesse qui s’investit de plus en plus au sein de la structure. Citons, en exemple concret, l’émergence de l’équipe de club sportif, ayant rapidement connu des résultats significatifs. Depuis quand la mairie de Lyon Huitième a souhaité mettre en place son grand prix bouliste, qui rappelons-le, est chaque année organisé dans un clos différent de l’arrondissement ? Nous organisons le grand prix depuis 2008 ; cette année il s’agira de la 12e édition (la première a eu lieu à […]
Quelques semaines avant l’organisation du Challenge « Rousson » dont il est le donateur (et qui aura lieu le 18 mai 2019), découvrez l’interview de Marc Rousson. Comment as-tu connu le club de l’A.L.B.E.U et depuis quand ? J’ai connu le club de différentes manières. Avec l’école nous jouions au basket-ball et au handball dans la cour de l’A.L.B.EU. Mon papa était un ancien du club; il a d’ailleurs disputé la finale du concours de Pentecôte en catégorie « vétéran » avec Messieurs Desvignes, Imbert et Audi-Berti. Enfin nous habitions tout près (rue Théodore Levigne) et dès 1958, à l’âge de 8 ans, j’ai pu commencer à jeter des boules sur les jeux de l’A.L.B.E.U. Par la suite, tu es devenu un des dirigeants du club. Quelles-ont été tes responsabilités ? J’ai été vice-président du conseil d’administration y a 25 ans; Yanik Desgranges en était alors déjà le président. A la même période, j’étais aussi vice-président de la section animation aux côtés de Christian Paccoud, le président. Pourquoi as-tu souhaité devenir donateur d’un concours au sein de notre club et depuis quand est-ce le cas ? C’est à la demande de mon fils Loïc, il y a 15 ans, que j’ai décidé de faire ce concours en hommage à mon papa. Peux-tu nous raconter une petite anecdote sur ton concours ? Un fait particulier ? Ne citer qu’une seule anecdote serait difficile; je n’ai que des bons souvenirs de toutes les éditions du challenge « Rousson ». J’ai même réussi à « traverser », lors de quelques éditions, avec mes amis. As-tu un petit message à adresser aux participants de l’édition 2019 du challenge « Rousson » ? Je souhaite remercier tous les futurs participants du concours, en espérant qu’il se déroule dans une bonne ambiance et sous un beau soleil. Il y a un beau plateau cette année avec des équipes venant de toute la région. Merci aussi à mes amis de Cogny, mon club de cœur situé dans le Beaujolais dans lequel je suis licencié depuis 35 ans, pour leur venue lors de chaque édition.
Quelques semaines avant l’organisation du Challenge « Le Vétéran » dont il est le donateur (et qui aura lieu le 16 mars 2019), découvrez l’interview de Gilles Tinet. Peux-tu te présenter en quelques mots ? Je suis le propriétaire et responsable du bar/restaurant « Le Vétéran » situé 17 rue Benoît Bernard dans le 8e arrondissement de Lyon. J’ai toujours aimé l’associatif, je m’implique depuis de nombreuses années dans des associations sportives et notamment depuis mon adolescence, durant laquelle j’étais licencié à la fédération française de natation. Concernant le sport-boules lyonnaise, c’est mon oncle (licencié à l’ALGM boules) qui m’a transmis cette passion : il possédait un jeu de boules chez lui ! Depuis, j’ai toujours été licencié au sein de la société bouliste du Grand trou, située dans le 8e arrondissement de Lyon. Comment as-tu connu le club de l’A.L.B.E.U et depuis quand ? Au départ, j’ai connu l’A.L.B.E.U par ma tante qui y était licenciée au sein de la section basket (qui n’existe plus aujourd’hui). Puis, avec le club de sport-boules lyonnaise du Grand trou, j’ai pu connaître la section sport-boules. Je suis ensuite devenu le tout premier partenaire de l’équipe de club sportif de l’A.L.B.E.U, dès la saison sportive 2014-2015. Pourquoi as-tu souhaité devenir donateur d’un concours au sein de notre club et depuis quand est-ce le cas ? Ce concours est organisé en hommage à mon oncle, joueur de sport-boules lyonnaise comme j’ai déjà pu l’indiquer. J’ai choisi la quadrette car c’est le jeu que préférait mon oncle. Les trois premières éditions ont eu lieu dans le clos de la boule du Grand trou et la quatrième à l’A.L.B.E.U. Cette année, la 5e édition aura également lieu à l’A.L.B.E.U. Peux-tu nous raconter une petite anecdote sur ton concours ? Un fait particulier ? Je me souviendrai toujours de la première édition; nous ne savions pas trop « où nous allions » et de nombreux participants dont David Ferrari m’avaient félicité, ainsi que le club organisateur, pour l’organisation de la journée et du concours qu’ils avaient jugé parfaite. Un petit mot sur le sport-boules lyonnaise ? Si notre discipline est belle, il y a malheureusement de moins en moins de bénévoles impliqués dans notre sport : la plupart des joueurs ne s’impliquent pas assez dans l’organisation des clubs et des manifestations. J’aimerais voir davantage de licenciés s’impliquer dans la vie des clubs. As-tu un petit message à adresser aux participants de […]
Quelques jours avant l’organisation du Challenge « Bernezet » dont il est le donateur (et qui aura lieu le 11 janvier 2020), découvrez l’interview d’Alain Bernezet, sociétaire de l’A.L.B.E.U depuis 1980. Comment as-tu connu le club de l’A.L.B.E.U et depuis quand ?C’est Bernard Portay qui m’a amené la première fois à l’A.L.B.E.U en 1980. J’ai été sociétaire dès le premier jour avec comme parrain Bernard Portay lui-même et Jeannot Dubet. Dès cette première année et après avoir pratiqué à Bron, je prends ma licence FFSB à l’A.L.B.E.U. Par la suite, tu es devenu un des dirigeants du club. Quelles ont été tes responsabilités ?J’ai intégré le bureau de la section sport-boules, puis suis rapidement devenu (et pour une dizaine d’année) vice-président de la section. J’en ai également été le président durant une saison. Pourquoi as-tu souhaité devenir donateur d’un concours au sein de la société et depuis quand est-ce le cas ?En 2019, nous fêterons la 25e édition de ce challenge ! J’ai souhaité le mettre en place et en être donateur en l’honneur de mes parents, pour ne pas les oublier et pour les remercier de tout ce qu’ils ont fait pour leurs 9 enfants. Depuis 25 ans, le concours se déroule le même week-end de janvier et en quadrette. Peux-tu nous raconter une petite anecdote sur ton concours? Un fait particulier?Je me souviendrai toujours de la première édition, que nous avons remporté avec mes amis Didier Léger, Roger Ribet et Eric Merck. As-tu un petit message à adresser aux participants de l’édition 2020 du challenge Bernezet?Ce concours me tenant tellement à cœur, je souhaite remercier chaque participant des 25 éditions. Je souhaite le meilleur sportivement à l’ensemble des joueurs qui participeront à l’édition 2020, en espérant les féliciter et les remercier directement en finale le samedi 11 janvier au soir. Je souhaite également remercier le bureau des boules qui chaque année organise la manifestation d’une main de maître. Une phrase sur le sport-boules lyonnaise ?Il s’agit du sport que j’ai pratiqué le plus intensément : la passion de ma vie. Ton palmarès bouliste ?– Vice-champion de france U.F.O.L.E.P à Liévin en 2005 avec Bruno Intini, Bernard Peret et Fernand Resseguier. – Vainqueur de la coupe de France U.F.O.L.E.P à Givors en 2008.